Ne devrions nous pas consommer que des produits qui respectent nos choix de sociétés, en terme de solidarité sociale, de santé, de rémunération, d'environnement et droits de l'homme ?
Comment espérer que nos systèmes de solidarité se maintiennent alors que nous consommons des produits qui ne participent pas à leurs financements ; soit issus de l’importation, soit fabriqués par des machines ?
Ne pourrait-on pas faire supporter le financement de nos systèmes de solidarité par la consommation plutôt que par le travail ?
Nous y voyons quelques avantages comme :
1.
La baisse du coût du travail, puisque les charges sociales n’y seraient plus incluses.
2.
Exportations favorisées par cette baisse du coût du travail.
3.
Embauches liées à la baisse du coût du travail.
4.
Les produits d’importation ainsi que ceux fabriqués par les machines participeraient aux charges.
5.
Des choix de taxation de la consommation en fonction de nos exigences : sociales ( solidarités ), humaines ( détaxe des produits de première nécessité et surtaxe des produits de luxe ), environnementales ( taxation des produits polluants et détaxe des non-polluants ), surtaxe sur les produits des entreprises qui pratiquent les prix de transfert* à travers les paradis fiscaux
Ne serait-ce pas une façon de se réapproprier notre droit à choisir pour nous-mêmes le type de société que nous voulons, plutôt que subir cette soi-disant fatalité qu’impliquerait la société marchande mondialisée.
Prix de transfert : L' agence de l' entreprise Carroufe située dans un paradis fiscal achète un jouet 1€, ensuite le revend à l'agence française 10 €, qui elle même le vend aux consommateur 10 €. Les bénéfices étant réalisés dans le paradis fiscal, le gain d'impôt est clair.
- La moitié des transactions financières circule à travers les paradis fiscaux.
- L'impôt sur les bénéfices des sociétés Françaises est de 33,33 %, la plupart des entreprises du CAC 40 n'en paient que 8 % grâce aux prix de transfert. Je vous laisse imaginer les sommes que cela représente. Ajouter à cela l'évasion fiscal ( 40 millards d'euros ) et nous avons très largement les moyens d'assumer le coût de nos solidarités sociale.
Jean-Pierre
Comment espérer que nos systèmes de solidarité se maintiennent alors que nous consommons des produits qui ne participent pas à leurs financements ; soit issus de l’importation, soit fabriqués par des machines ?
Ne pourrait-on pas faire supporter le financement de nos systèmes de solidarité par la consommation plutôt que par le travail ?
Nous y voyons quelques avantages comme :
1.
La baisse du coût du travail, puisque les charges sociales n’y seraient plus incluses.
2.
Exportations favorisées par cette baisse du coût du travail.
3.
Embauches liées à la baisse du coût du travail.
4.
Les produits d’importation ainsi que ceux fabriqués par les machines participeraient aux charges.
5.
Des choix de taxation de la consommation en fonction de nos exigences : sociales ( solidarités ), humaines ( détaxe des produits de première nécessité et surtaxe des produits de luxe ), environnementales ( taxation des produits polluants et détaxe des non-polluants ), surtaxe sur les produits des entreprises qui pratiquent les prix de transfert* à travers les paradis fiscaux
Ne serait-ce pas une façon de se réapproprier notre droit à choisir pour nous-mêmes le type de société que nous voulons, plutôt que subir cette soi-disant fatalité qu’impliquerait la société marchande mondialisée.
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Jean-Pierre
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