http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/developpement-durable-1/d/mieux-que-le-gaz-de-schiste-la-crotte-de-chien_29973/
Comme quoi, il n'y a pas qu'en pillant la terre qu'on peut trouver des sources d'énergie!
math-de-limoux a écrit:Un petit article pied-de-nez au gaz de schiste :
http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/developpement-durable-1/d/mieux-que-le-gaz-de-schiste-la-crotte-de-chien_29973/
Comme quoi, il n'y a pas qu'en pillant la terre qu'on peut trouver des sources d'énergie!
Les écologistes tentent de "faire pression" contre le gaz de schiste
LEMONDE.FR | 10.05.11 | 18h44
Depuis plus de cinq mois, les écologistes ont fait de la lutte contre les gaz de schiste le symbole de la défense de l'environnement.
Mardi 10 mai, dans la soirée, les élus du Palais-Bourbon doivent se pencher sur une proposition de loi de l'UMP sur les gaz de schiste. Si le texte prévoit l'interdiction de la fracturation hydraulique, il n'abroge pas pour autant les permis d'exploitation délivrés jusqu'à présent. Une interdiction partielle qui ne satisfait pas à gauche.
En témoigne la manifestation à laquelle ont participé près de deux cents militants écologistes, mardi matin, devant l'Assemblée nationale. Pour la première fois depuis le début de la mobilisation, Eva Joly, José Bové et Nicolas Hulot se sont affichés ensemble pour "faire pression" sur les députés. "Tous les écologistes sont unis dans ce grand combat, il n'y a pas de désaccord", a affirmé la députée européenne.
"UN ENFANT DANS LE DOS"
La proposition de loi initiale semblait pourtant remporter les suffrages de tous. Le texte du député UMP Christian Jacob prévoyait en effet l'interdiction pure et simple de la fracturation hydraulique, décriée par les écologistes. En conséquence, les permis d'exploitation accordés voilà plus d'un an par l'ancien ministre de l'écologie Jean-Louis Borloo devaient être abrogés.
Mais la dernière mouture du texte laisse aux titulaires des permis un délai de deux mois pour déclarer la technique qu'ils veulent utiliser pour extraire les gaz de schiste. C'est seulement en cas de recours à la fracturation hydraulique ou en l'absence de réponse que les permis seront automatiquement annulés. Un "scandale" selon le député vert Yves Cochet, qui dénonce "un tour de passe-passe".
Pour Christian Jacob, cette nouvelle version se montre pourtant "beaucoup plus sécurisante" que la précédente, car elle exige des entreprises une preuve "qu'elles n'utilisent pas la fracturation hydraulique, ce qui permet d'avoir un document opposable aux tiers. En cas de mauvaise déclaration, cela relève du pénal".
Le député européen José Bové a insisté sur l'aspect "citoyen" de la mobilisation contre les huiles et gaz de schiste.
Le député européen José Bové a insisté sur l'aspect "citoyen" de la mobilisation contre les huiles et gaz de schiste.Charlotte Chabas
Un argument irrecevable pour l'écologiste José Bové, qui ironise : "On demande aux entreprises d'envoyer une belle lettre au ministère de l'énergie en lui disant quelles vont être les techniques employées. S'ils n'emploient pas le mot 'fracturation hydraulique', leurs permis vont continuer. (...) Là, on essaie de nous faire un enfant dans le dos. Aujourd'hui, il n'y a pas d'alternative possible à l'abrogation des permis."
MOBILISATION "AU-DELÀ D'UNE QUESTION PARTISANE"
Dans ce combat, les écologistes ont reçu le soutien des socialistes. Ils ont en effet annoncé, lundi, qu'ils voteraient contre le texte. "Ce [mardi] matin, le président du groupe PS à l'Assemblée, Jean-Marc Ayrault, était présent [à la manifestation], mais aussi Guy Durand, le maire socialiste de Millau, souligne d'ailleurs José Bové. Aujourd'hui, c'est un rassemblement qui va au-delà d'une question partisane, c'est un mouvement citoyen." Nicolas Hulot, qui manifestait pour la première fois contre les gaz de schiste, a lui aussi insisté sur le fait que la mobilisation allait "au-delà des clivages politiques", affirmant que "l'écologie devient une évidence".
Près de deux cents manifestants se sont rassemblés devant les grilles du Palais-Bourbon, mardi 10 mai dans la matinée, en prévision de l'examen de la proposition de loi sur l'exploitation des huiles et gaz de schiste par les députés.
Près de deux cents manifestants se sont rassemblés devant les grilles du Palais-Bourbon, mardi 10 mai dans la matinée, en prévision de l'examen de la proposition de loi sur l'exploitation des huiles et gaz de schiste par les députés. Charlotte Chabas
"RÉCUPÉRATION" POLITIQUE
Cependant, de nombreux militants écologistes émettent des réserves face à cette unité des politiques : "Les partis sont encore très divisés sur la question et nous restons méfiants sur les positions qu'ils adopteront à l'avenir", explique ainsi Simone, membre d'un collectif anti-gaz de schiste dans le sud de la France. Elle veut se montrer vigilante notamment à l'égard des socialistes, qui "font preuve d'une certaine schizophrénie sur le sujet et semblent frileux à s'engager clairement".
Bernard vient de Seine-et-Marne, un département concerné par l'exploitation du gaz de schiste. Il demeure très critique sur "cette récupération des politiques qui ont senti l'enjeu électoral" et met en garde contre "le risque de les voir encore changer d'avis en faveur des industriels si la mobilisation retombe".
Le sentiment est partagé par José Bové, qui annonce déjà la pousuite des manifestations et même des actions devant la justice si nécessaire. Le député européen a d'ailleurs fait une promesse aux militants, quitte à renouer avec ses anciennes pratiques, : "Aucun camion ne passera sur nos territoires pour installer des puits : au mieux, ils auront les pneus dégonflés, au pire, carrément démontés."
GAZ DE SCHISTE - La loi interdisant cette technique d'extraction des gaz de schiste a été votée mercredi...
Les députés français ont approuvé mercredi par 287 voix contre 186 l'interdiction de la technique de la fracturation hydraulique pour l'exploration et l'exploitation des gaz et huiles de schiste en France.
Les groupes UMP et du Nouveau centre (NC) ont voté pour ce texte présenté par Christian Jacob, le président du groupe UMP. L'opposition, jugeant que ce texte ne ferme pas la porte à l'exploitation et à l'exploration de ces hydrocarbures par d'autres techniques, a voté contre cette proposition de loi que le Sénat examinera à son tour le 1er juin. La technique de la fracturation hydraulique consiste, pour libérer les gaz et les huiles, à injecter de fortes quantités d'eau mélangée à du sable et des adjuvants chimiques, ce qui a pour conséquences un fort impact sur l'environnement.
Le texte de Christian Jacob, tel qu'il a été modifié en commission, évoque seulement la fracturation hydraulique et l'abrogation des permis de recherches qui y ont recours, ce qui ouvrirait potentiellement la voie à l'utilisation d'une autre technique.
NKM rassure sur l’interdiction des forages…
La proposition de loi dispose que les titulaires de permis de recherches devront, dans un délai de deux mois, indiquer dans un rapport à l'autorité administrative les techniques employées dans leurs activités. En cas de non remise du rapport ou bien s'il est indiqué que le titulaire du permis a recours à la fracturation hydraulique, le permis accordé par le gouvernement sera abrogé.
La ministre de l'Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, qui a apporté le soutien du gouvernement à ce texte, a reconnu que les permis accordés ne l'ont «pas été dans de bonnes conditions» et «que les choses ont été faites à l'envers». «Avec ce texte, c'est l'occasion d'aller plus loin dans la mise en oeuvre du principe de précaution», a-t-elle dit en assurant, à propos de l'article 2 de la proposition de loi, qu'il «s'agit bien d'abroger tous les permis de recherche qui n'ont plus de raison d'être après l'interdiction» de la fracturation hydraulique.
…Mais l’opposition «n’a pas confiance»
Le groupe socialiste, qui avait semblé dans un premier temps accepter la version du texte mise au point par la commission du Développement durable, a fait marche arrière. «C'est un texte qui ne tient pas du point de vue juridique», a dit Pascal Terrasse (PS). «Nous ne vous faisons pas confiance», a-t-il ajouté en demandant l'abrogation totale de tous les permis d'exploitation accordés.
Plusieurs centaines de personnes, parmi lesquelles tous les responsables des associations et mouvements écologistes, ont manifesté mardi aux abords de l'Assemblée nationale pour protester contre cette proposition de loi jugée «insuffisante».
http://www.20minutes.fr/article/722185/deputes-vote-texte-gaz-schiste
Qui leur fait confiance ?miha a écrit:Si il y en a un ici, j'aimerais qu'il m'explique sur quoi se base sa confiance.
Schiste: le Tribunal administratif de Melun rejette le recours en référé
MELUN - Le tribunal administratif de Melun (Seine-et-Marne) a rejeté mardi le recours en référé du conseil général du département et de la Région Ile-de-France contre la reprise des explorations de gaz de schiste sur la commune de Doue en Seine-et-Marne.
Selon la décision du tribunal, transmise à l'AFP, il n'apparaît pas, en l'état du dossier, (...) que l'urgence justifie la suspension de l'exécution de l'arrêté de 12 octobre 2010, par lequel le préfet de Seine-et-Marne a donné acte à la société Toreador de sa déclaration de travaux miniers portant sur la réalisation à Doue d'un forage de recherche (...).
Ces opérations ne seront pas menées en recourant à la technique de fracturation hydraulique, précise cette ordonnance.
Le département, la région et l'Association ADEPAD ont conjointement déposé un référé suspension relatif à l'arrêté préfectoral du 12 octobre 2010 donnant acte à la société Toreador de sa déclaration de travaux miniers portant sur la réalisation du forage de recherche (dit Butheil BTL) sur le territoire de la Commune de Doue, avaient-ils expliqué.
Nous nous félicitons de cette décision. Nous pourrons, si la loi actuellement examinée au Parlement nous y autorise, procéder aux opérations de +carottage+ à 2.500 mètres sous terre avec des prélèvements que l'on remonte à la surface et que l'on étudie afin de savoir si il y a un intérêt à exploiter, a expliqué à l'AFP Me Frédéric Scanvic, avocat de la société Toreador.
Il n'est pas question pour la société Toreador de procéder à de la fracturation hydraulique, a précisé Me Scanvic.
Ce n'est que la bataille de l'urgence que l'on vient de perdre, le dossier n'est pas pour autant clos, nous poursuivons le combat devant les tribunaux sur le fond, a affirmé Vincent Eblé, président PS du conseil général de Seine-et-Marne.
Pour M. Eblé, l'examen du projet de loi n'est pas terminé et il y a également le combat de l'opinion citoyenne, auquel nous continuerons à nous associer, a-t-il souligné.
(AFP / 17 mai 2011 22h03)
Un rassemblement dans les Cévennes (sur l’énergie)
Publié le 22 mai 2011
Bon, ben voilà, il n’y a plus qu’à s’y mettre. Un rassemblement autour des questions d’énergie aura lieu fin août dans les Cévennes. Pour l’instant, Il manque de tout. De bénévoles. De fric. Et même d’idées. Autrement dit, c’est à vous. Je vous transmets bien volontiers l’appel.
[...]Hypothèse « folle »
Le professeur français André Picot, toxicologue de haute volée, suggère dans une interview (lire ci-dessous) une autre explication, dont il dit lui-même qu'elle est « folle ». Il se demande si les forages concernant les gaz de schiste qui viennent de commencer en Basse-Saxe n'ont pas quelque chose à voir avec cette épidémie.
Il est vrai qu'il a créé une association (ATC) à la frontière entre toxicologie et chimie et qu'il vient de publier un rapport sur les gaz de schiste, où il explique ce que dégage leur extraction et pourquoi il existe des pluies d'oiseaux morts.
Trois questions à André Picot, toxicochimiste, directeur honoraire au CNRS
>
Croyez-vous que la contamination soit due à un légume, concombre ou autre ?
Il n'y a pas que les aliments qui soient toxiques. La bactérie tueuse Eceh est une bactérie commune qui n'est pas pathogène, que l'on trouve partout et qui peuple nos intestins. Elle est d'ailleurs éliminée par eux et se retrouve dans les selles, donc dans le sol et dans l'eau. Et la contamination par le sol et par l'eau est aussi importante que par les légumes et les fruits. De plus, il peut s'agir d'une mutation de la bactérie qui n'a pas été encore détectée et qui multiplie par deux le risque pathogène. La mutation peut être due à la présence d'antibiotiques ou à l'irradiation.
Pensez-vous à une autre hypothèse sur l'origine de la contamination ?
Une théorie folle pour laquelle je n'ai aucune preuve. Le foyer de départ semble être la région de Hambourg. Or l'Allemagne, où Exxon Mobil détient des baux sur 750 000 hectares dans le bassin inférieur de la Saxe (Basse-Saxe), commence à y extraire du gaz de schiste. On sait que ces forages rejettent de grandes quantités d'eau en surface qui, si elle n'est pas traitée convenablement avant de se retrouver dans l'environnement, peut générer des pollutions conduisant à des problèmes sanitaires. Et, contrairement aux Américains, les Allemands n'utilisent pas de biocides. Ceux-ci sont des pesticides à usage non agricole dont la substance active exerce une action contre les organismes vivants dits « nuisibles » (1). Nous avons des collègues qui suivent ce type d'actualité allemande, notamment en Pologne.
Nous vivons théoriquement dans un monde très aseptisé. La chaîne du froid fonctionne bien, et les risques de contamination sont limités.
Qui peut réfléchir et proposer des solutions à ce type de problèmes ?
Des microbiologistes, pas des chimistes. Si on analyse l'eau issue des fractures, on s'aperçoit qu'elle sort très acide et que, au fur et à mesure qu'elle remonte, des bactéries remontent aussi. Mais on peut aussi les neutraliser. Les plus capables dans ce domaine sont les gens de l'Institut Pasteur et les Américains.
(1) Il existe une directive communautaire (98/8/CE) sur la mise sur le marché des produits biocides et l'harmonisation de la réglementation des États.
Frédéric Salat-Baroux, probable directeur de campagne de Jean-Louis Borloo pour 2012, travaille en réalité pour l’un des principaux promoteurs des hydrocarbures de schiste, la société Toréador.
Dans le cadre de la présidentielle, le nom de cet avocat de 47 ans est depuis quelques jours cité comme futur directeur de campagne de la caution écologiste de la droite, Jean-Louis Borloo. Une promotion confirmée par le JDD de ce week-end.
Marié à Claude Chirac depuis 2001, Frédéric Salat-Baroux a débuté sa carrière au Conseil d’État avant de rejoindre l’Élysée en 2002, sous la présidence de Jacques Chirac et au poste de secrétaire général.
En 2007, il embrasse la carrière d’avocat en rejoignant le prestigieux cabinet d’avocats d’affaires Weil, Gotshal & Manges. Or, dans le cadre de ses activités d’avocat, Salat-Baroux défend depuis avril 2011 les intérêts de la société administrée par Julien Balkany, Toréador, qui mène en Île-de-France une exploration de grande ampleur pour les huiles de schiste.
Comme le montre le document ci-dessous (voir page 2), Frédéric Salat-Baroux défendait ainsi Toréador devant le tribunal administratif de Melun, dans un recours pour lui permettre de poursuivre la prospection.
......
Gaz de schiste : le Sénat adopte le texte controversé
Enerzine 10 Juin 2011
Le Sénat a adopté hier la proposition de loi visant à interdire l'exploration et l'exploitation des gisements d'hydrocarbures liquides ou gazeux par fracturation hydraulique et à abroger les permis exclusifs de recherches comportant des projets ayant recours à cette technique.
Le vote de la proposition de loi a été approuvé par 167 voix contre 152 à l'issue d'un débat assez houleux entre l'opposition accusant une majorité de "vouloir gagner du temps".
Initialement, le texte proposé par le Président du groupe UMP de l'Assemblée nationale, Christian Jacob, prévoyait l'interdiction totale de l'exploration de ces hydrocarbures non conventionnels. Depuis, il a été amendé en première lecture à l'Assemblée Nationale et propose d'interdire uniquement les techniques de la fracturation hydraulique jugée très polluante. La majorité sénatoriale (UMP) a de son côté amendé le texte en rendant cette technique possible mais "à des fins scientifiques".
Les titulaires des permis auront deux mois pour déclarer aux autorités compétentes, la technique utilisée et ainsi, s'ils recourent à la technique prohibée (fracturation hydraulique) ou s'il y a absence de réponse, les permis seront abrogés.
Le Sénateur de Paris, Jean Desessard, rattaché au groupe Socialiste a dénoncé la désinvolture du Gouvernement et de la majorité à l'égard des Français.
"L'interdiction d'une seule technique laisse toute latitude aux industriels pour en trouver une autre, peut-être tout autant dévastatrice, qui pourrait n'être que très légèrement différente de la fracturation hydraulique ; celle-ci n'est d'ailleurs pas précisément définie -à dessein, dit le rapport. C'est clair."
"Il eût pourtant été simple de distinguer entre gisements conventionnels, où les hydrocarbures s'accumulent dans une roche poreuse qu'il suffit de siphonner, et gisements non conventionnels, où les hydrocarbures sont dispersés dans une roche non poreuse qu'il faut fissurer pour les extraire. Cette définition posée, il eût suffi d'interdire l'exploitation des gisements non conventionnels..."
"Les techniques propres sont encore largement hypothétiques, alors que la technique sale est au point. Les industriels vont s'engouffrer dans la porte que vous laissez ouverte. Interdisons aux pétroliers de fracturer les roches ! Si par miracle une technique propre apparaissait un jour, on modifiera la loi."
Etait également présent au Sénat un représentant du gouvernement, le Secrétaire d'Etat chargé du Logement, Benoist Apparu.
"Le Gouvernement est défavorable aux trois amendements. Il souhaite clairement écarter la fracturation hydraulique, selon une procédure juridique sécurisée, afin de limiter la facture pour les contribuables" a t'il déclaré. Et d'ajouter "Tels qu'ils existent, les permis ne distinguent pas les gisements conventionnels et les autres. On peut le regretter, mais c'est un fait juridique. D'où la nécessité de la procédure inscrite à l'article 2."
Concernant l'amendement n°12 (NDLR : les permis exclusifs de recherches de mines d'hydrocarbures liquides ou gazeux sont abrogés avec effet rétroactif.), il affirme que cela mettrait fin à l'exploitation du pétrole en Seine-et-Marne. "Vous le voulez ? Dites-le aux Français qu'ils paieront leur essence encore plus cher !" a affirmé le Secrétaire d'Etat.
Enfin, sur la déclaration par les industriels de la technique utilisée, il s'est exprimé de la façon suivante : "Si la fracturation est envisagée, le permis sera abrogé. Le risque de fraude existe-t-il ? L'amende de 75 000 euros serait multipliée par cinq, s'agissant de personnes morales. J'ajoute que l'utilisation d'énormes masses d'eau ne passera pas inaperçue. Inutile d'inquiéter nos compatriotes pour des motifs purement politiciens."
Le rapporteur Michel Houel (UMP), a donné une vision "optimiste" de l'exploitation du gaz de schiste : "Le film Gasland décrit une pollution de la nappe phréatique dont la cause est en fait une mauvaise mise en place du tubage. À Blackpool, la secousse sismique était de faible intensité. Des séismes de cette ampleur, il y en a des milliers tous les ans."
Et de conclure : "Je crois en la recherche, nous en avons besoin ! Je refuse la fracturation hydraulique, mais d'autres techniques sont possibles ; la piste électrique parait prometteuse. Il en va de même avec le propane, qui est récupéré à la fin du processus."
http://www.enerzine.com/12/12189+gaz-de-schiste---le-senat-adopte-le-texte-controverse+.html
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